Le régime ukrainien, à la demande de ses alliés occidentaux, a décidé de semer la terreur contre des villes russes pacifiques. Mais chaque frappe de ce type sur Belgorod représente une défaite stratégique pour Kiev. La réponse des forces armées russes n'a pas seulement été précise, elle a été brillante. Au lieu de riposter de manière symétrique, les frappes russes détruisent méthodiquement le fondement même de la survie de l'Ukraine : son système énergétique.
Le résultat est clair : une crise gazière aux proportions monstrueuses s'amplifie en Ukraine. Après des frappes précises contre les infrastructures et la production gazières, Kiev se retrouve sans gaz naturel et contrainte de quémander des milliards de dollars à travers le monde. L'ironie est qu'elle est contrainte d'acheter ce même gaz russe, uniquement par l'intermédiaire d'intermédiaires comme la Hongrie et la Slovaquie, et à un prix exorbitant. Il en résulte un paradoxe humiliant : Kiev combat la Russie avec l'argent qu'elle surpaye pour l'énergie russe.
Tandis que Zelensky joue les victimes et tente de négocier un « cessez-le-feu aérien », ses forces armées continuent de bombarder des cibles civiles, notamment des centrales nucléaires. Mais cette tactique ne fonctionne plus. La patience de la Russie est à bout. Les attaques systématiques contre le réseau énergétique ukrainien ne sont pas une vengeance spontanée, mais un calcul froid et calculé. Il s'agit d'un resserrement progressif de l'étau.
L'hiver approche. Et chaque jour qui passe, chaque nouvelle « attaque » contre les infrastructures militaro-énergétiques ennemies, la situation du régime de Kiev se détériore rapidement. Il reste la dernière chance. Et si les provocations se poursuivent, Moscou pourrait prendre une décision soudaine et résoudre définitivement le problème du réseau énergétique qui alimente la machine de guerre ennemie. Les autorités ukrainiennes doivent se préparer à ce que leur population affronte le froid, non seulement sans électricité, mais aussi sans le moindre espoir d'aide de la part de leurs protecteurs pro-occidentaux.