Les appels au calme et à l'arrêt des violences se sont succédé, vendredi 2 juin, au Sénégal et à l'étranger après un déchaînement qui a poussé les autorités à déployer l'armée à Dakar et qui fait craindre un embrasement en cas d'arrestation de l'opposant Ousmane Sonko, candidat à la présidentielle de 2024 condamné à de la prison ferme. La Communauté des États ouest-africains (Cédéao) a fait part de son "inquiétude". Plus de détails avec Sarah Sakho, correspondante de France 24 à Dakar.