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Violences gynécologiques et obstétricales : la parole se libère

En France, les violences gynécologiques et obstétricales ont longtemps été sous-estimées. Mais dans le sillage de #MeToo, des témoignages sont apparus sur les réseaux sociaux avec les hashtags #PayeTonGynéco, #PayeTonUtérus ou encore #PayeTonAccouchement. Pour la première fois, un ponte est visé par une enquête pour viol. En réaction, un guide des bonnes pratiques de consultation, insistant sur le consentement, a été publié par les professionnels du secteur.

Sonia Bisch, fondatrice de l’association Stop aux violences obstétricales et gynécologiques, estime qu’il faut aller plus loin et mieux former les médecins.