"Rien ne justifie que l'on vienne changer les participations croisées, les règles de gouvernance et, a fortiori, la participation de l'État dans Renault, qui n'a rien à voir avec Nissan ". C'est en substance le message adressé par Emmanuel Macron à Tokyo. Le chef de l’État a ainsi contredit son ministre de l'Économie et douché les espoirs du constructeur japonais, qui juge l'Alliance déséquilibrée. Dans ce contexte, comment apaiser les tensions entre les deux constructeurs automobiles ?