C'est une annonce à laquelle on ne s'attendait pas. En pleine affaire Carlos Ghosn, Renault a trouvé le moyen de viser plus haut, plus fort : un projet de mariage avec l'italien Fiat, déjà propriétaire de Chrysler aux États-Unis. Ce rapprochement pourrait donner naissance au troisième constructeur automobile mondial, et de loin le premier si l'on considère l'alliance avec Nissan et Mitsubishi. L'accueil des investisseurs est positif, les cours en bourse des deux entreprises ont bondi.