
Apple va payer 38 milliards de dollars d'impôts sur ses bénéfices réalisés à l'étranger. En cause : la récente réforme fiscale votée aux États-Unis, dont l'un des objectifs était de rapatrier les fonds qui se trouvent en dehors du territoire américain. La multinationale a également promis d'investir massivement dans les prochaines années aux États-Unis. Sans surprise, ces annonces ont été saluées par Donald Trump, qui a fait du patriotisme économique un de ses thèmes favoris.