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Regarder les photos du "Wildlife Photographer of the Year" détend plus qu'une séance de yoga

Organisé par le National History Museum de Londres, le concours "Wildlife Photographer of the Year" vient de dévoiler les clichés des finalistes. À les regarder, on se demande ce qu'on fait encore assis dans un open-space couleur crème.

Bon alors, que fait-on assis dans un open-space couleur crème ou sur un strapontin dans le bus quand il y a tant d'animaux à aller voir dans le monde ? 

Chaque année, le concours "Wildlife Photographer of the Year" rend hommage à la photographie animalière. Pour sa 53e édition, le concours organisé par le National History Museum de Londres vient de dévoiler les clichés des finalistes.

Notre préférée, c'est celle que vous voyez ci-dessus : prise par le photographe norvégien Audun Rikardsen, la photo intitulée "On peut partager le butin" montre un orque nageant dans l'océan Arctique et attiré par un chalutier en train de remonter un filet de pêche. 

Mais ces autres qui suivent sont également fantastiques. En tout cas, elles nous donnent envie de quitter nos copropriétés pour la compagnie de ces bêtes qui ont plus d'allure que le concierge en bermuda. Le grand gagnant sera annoncé le 18 octobre.

"Le voisin bruyant" par Sam Hobson (Royaume-Uni)

C'est sur un muret de la banlieue de Bristol (ville connue au Royaume-Uni pour être pleine de renards) que Sam a posé sa caméra un soir, avec pour objectif l'immortalisation du canidé sauvage.

"Parade nuptiale en groupe" par Scott Portelli (Australie)

Chaque hiver, des centaines de seiches se retrouvent dans les eaux de l'Australie du Sud pour s'accoupler et pondre. L'occasion pour chacune de revêtir ses plus belles tenues d'apparats. 

Des seiches géantes se rassemblent dans le golfe Spencer - S. Portelli/2016 Wildlife Photographer of the Year pic.twitter.com/Knm2Ww6BNA

— ONU Environnement (@UNEPfr) 1 septembre 2016

"Jouer au pangolin" par Lance van de Vyver (Nouvelle-Zélande / Afrique du Sud)

Après l'avoir suivi pendant plusieurs heures, Lance s'est arrêté près d'un oasis avec une troupe de lions. Mais au lieu d'être attirée par l'eau, celle-ci s'est mise à jouer avec un pangolin, ce mammifère nocturne qui se roule en boule lorsqu'il se sent en danger.

Playing pangolin by Lance van de Vyver, New Zealand/South Africa: Playing pangolin… https://t.co/ionOhCXbTn #petnook pic.twitter.com/RFoPBfonx5

— Pet Nook (@petnook) 1 septembre 2016

"La relique d'or" par Dhyey Shah (Inde)

Les langurs sont des singes qui vivent haut dans les arbres. Dans le monde, on n'en trouve plus que 2 500 dans la nature.

Golden relic by Dhyey Shah (India) pic.twitter.com/vwoWIGNucw

— Boateng Duka Kofi (@DukaKofi) 1 septembre 2016

"Les poissons qui disparaissent" par Iago Leonardo (Espagne)

Ces poissons sont les rois du camouflage. Pour se cacher des prédateurs, ils sont capables de réfléchir la lumière grâce aux cellules de leurs écailles.

"La linotte mélodieuse" par Isaac Aylward (UK)

Cette photo a été prise lors d'une randonnée en Bulgarie. On y voit une linotte mélodieuse détacher avec soin chaque pétale d'une fleur.

Thistle-plucker by Isaac Aylward (UK) pic.twitter.com/JgYlcQvcMn

— Boateng Duka Kofi (@DukaKofi) 1 septembre 2016

"La chute du termite" par Willem Kruger (Afrique du Sud)

Ce bucérotidé mange des termites, un par un, se servant de son bec pointu pour les attraper puis les lancer en l'air afin de mieux les gober. 

Termite tossing by Willem Kruger (South Africa) pic.twitter.com/PU4tbvshxP

— Boateng Duka Kofi (@DukaKofi) 31 août 2016

"Le haut fourneau" par Alexandre Hec (France)

La lave du volcan Kilauea, à Hawaï, ne touche l'océan qu'à de rares occasions. 

Blast Furnace By Alexandre Hec, France#photography pic.twitter.com/PazQAMe0p6

— Maurizio Giacchello (@mamogiack) 1 septembre 2016

"Fourmillement sous les étoiles" par by Imre Potyó (Hongrie)

Les éphémères, également appelés éphéméroptères, sont des insectes volants dont le déplacement ressemble à un délicat ballet de danse. Chaque année, pendant plusieurs jours, ils volent au dessus du Danube. 

#naturetweet Swarming under the stars by Imre Potyó (Hungary) https://t.co/NB5hcnbaV9 pic.twitter.com/TE6erVpo75

— Greenwich Greens (@GreenGreenwich) 2 septembre 2016

"Précision de crystal" par Mario Cea (Espagne)

Chaque nuit, les chauve-souris sortent chasser pour se nourrir. Lors de la quête, elles peuvent manger chacune jusqu'à 3 000 insectes. 

Preciosa captura de un murciélago enano en pleno vuelo, por Mario Cea. pic.twitter.com/G4d6WjDq9G

— Enrique Coperías (@TapasDeCiencia) 2 septembre 2016

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