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Au menu de cette revue de presse française, le retour des otages d'Arlit et la polémique signée Marine Le Pen. François Hollande lui dit "non" et se montre inflexible face au foot français. Tandis qu'en ce jour de la Toussaint, on se presse au cimetière virtuel, sur la toile.

Dans la presse française, 48 heures après leur arrivée, on en sait un peu plus sur les conditions de détention des otages français. Un retour à la vie en toute discrétion raconte le Parisien qui donne la parole aux proches des otages.
Un retour marqué aussi par les propos choc de Marine Le Pen sur le look et l’attitude des otages. La patronne du FN suggère un syndrome de Stockholm au risque de s’attirer une foudre de critiques. Peu importe, explique Libération, c’est une stratégie bien orchestrée : caresser dans le sens du poil la frange la plus extrême de son électorat.
Pour le Huffington Post, il y a bien eu rançon contre otages. Dans un dessin, on nous dévoile des ravisseurs qui semblent s’être fait avoir : l’Etat a prélevé la taxe à 75% sur les 20 millions de rançon.
Une Taxe à 75% à la Une du Figaro. Inflexible François Hollande a dit « non » au point de se fâcher avec le foot français. Mais après deux marches arrière fiscale cette semaine, le président n’avait pas le choix pour le journal. Mais nul besoin de s’en féliciter car dans l'édito c’est la France qui se retrouve sur le banc de touche à cause d’un nouvel impôt absurde. Cette taxe pousse les investisseurs étrangers à se détourner de l’Hexagone et les dirigeants de haut niveau à s’expatrier.

En avril dernier Redoine Faïd réussit l’impossible : s’évader de la prison ultra sécurisée de Sequedin. Retour sur cet évènement digne d’un film d’action, images de video surveillance à l’appui dans Libération.

Enfin, en cette fête de la Toussaint, de plus en plus de personnes iront au cimetière et laisseront des cierges sur la tombe de leurs proches en à peine quelques clic…