À l'approche du départ des troupes étrangères, en 2014, la fuite des jeunes s'accélère. Les forces de la coalition licencient à tour de bras leur personnel afghan, alors que le taux de chômage est supérieur à 40 %. Une grande partie de ces civils craignent le retour au pouvoir des Taliban. Chaque jour, les ambassades sont prises d'assaut dans l'espoir (infime) de l'obtention d'un visa.
Pour de nombreux candidats à l'exil, une seule possibilité : fuir vers l'Iran par la frontière terrestre.