
Après le scandale Cahuzac qui éclabousse le gouvernement socialiste et plus largement l’ensemble de la classe politique française, l’exécutif a annoncé des mesures destinées à moraliser la vie politique française. Ces mesures sont-elles suffisantes ? Ou s’agit-il d’une simple stratégie de communication qui ne modifiera pas vraiment la donne ?
Notre invité, Jean de Maillard, vice-président au tribunal de grande instance de Paris, est un spécialiste de la criminalité financière.