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Coupe du monde : surprises et désillusions

L'Afrique s'inquiète pour la Côte d'Ivoire. Les anglais digèrent mal de ne pas organiser la coupe du monde 2018. Parler de la sexualité des animaux ça peut côuter cher. Voici quelques sujets "sensibles" évoqués par la presse internationale ce vendredi.

Les anglais y croyaient "dur comme fer". Inventeur du football, vainqueur de la coupe du monde en 1966... l'organisation de la coupe du monde 2018 leur revenait de droit. La désillusion est grande dans les pages du Daily Mail.

La Fifa en a décidé autrement en choisissant la Russie pour 2018 et le Qatar, activement soutenu par Zinedine Zidane, pour 2022. Les 2 futurs hôtes du Mondial ont d'immenses défis à relever souligne le New York Times.

Désillusion aussi pour le Burkina Faso dont le président Blaise Compaoré n'a pas ménagé ses efforts pour renouer les fils du dialogue en Côte-d'Ivoire. Le quotidien Le Pays s'interroge sur l'avenir d'un pays qui n'arrive pas à tourner la page de l'instabilité.

Julian Assange le fondateur de Wikileaks est sans doute l'homme le plus recherché du moment. Alors q'un nouveau mandat d'arrêt a été délivré contre lui pour des faits de viols, la justice américaine étudie la façon la plus efficace de lancer des poursuites. C'est à lire dans le Christian Science Monitor

Pour finir cette histoire de chauve souris que relate l'Irish Independent. Dylan Evans est comportementaliste à l'Université de Cork. Il a appris à ses dépens que parler de la vie sexuelle des animaux peut parfois coûter très cher.