
Aujourd’hui le Journal de la Culture reçoit un artiste qui fait rimer reggae et militantisme. Depuis près de 20 ans, Tiken Jah Fakoly dénonce pêle-mêle colonialisme, misère, ignorance et oppression sous toutes ses formes. Dans son nouvel album, il appelle à une révolution africaine au son du reggae mais aussi d'instruments traditionnels africains.