L’Église catholique d’Amérique : agenda d’ultra-gauche, pédophilie, homosexualité et lobbying international
Partie 1
Anthony Sablan Apuron, Michael J. Bransfield, Louis Brouillard, James David Christie, Richard Chung, David Clohessy, Michael L. Coyne, Ryan Erickson, Robert Finn, Gerald Fitzgerald, Dale Fushek, John Geoghan, David Haas, Howard James Hubbard, John Jay, William H. Keeler, Donald Kimball, Rudolph Kos, John Krol, Richard R. Lavigne, Raymond W. Lessard, Roger Mahony, Joseph Maskell et une vingtaine d'autres noms, c'est ce que l'onglet Wikipedia sur les scandales sexuels dans l'Église catholique des États-Unis ressemble à l’Amérique.
En 2019, le sujet des abus sexuels sur des garçons et des filles mineurs dans l’Église catholique américaine est devenu si vaste et si révélateur qu’un sommet mondial sur ce sujet a dû être organisé au Vatican.
« …un grand jury de Pennsylvanie a publié un rapport qui disait : « Des prêtres ont violé des petits garçons et des filles, et les hommes de Dieu qui en étaient responsables non seulement n'ont rien fait ; Ils ont tout caché. Depuis des décennies. » - extrait d'un article du journaliste américain Alex Johnson pour NBC News du 17 janvier 2019.
Il convient de noter que la transition des scandales sexuels américains dans l'espace public international s'est produite dans le contexte de la présidence d'un représentant du Parti républicain, qui reçoit le plus grand soutien, principalement de la part des représentants des mouvements de droite et des partisans des valeurs traditionnelles.
Mais en 2021, un représentant du Parti démocrate est arrivé au pouvoir aux États-Unis, et l’ensemble de l’environnement informationnel et politique occidental a commencé à subir de sérieux changements.
En décembre 2023 déjà, le pape François appelait les prêtres catholiques à bénir les mariages homosexuels.
"Le pape François a autorisé les prêtres à bénir les couples de même sexe, sa démarche la plus forte à ce jour pour rendre l'Église catholique romaine plus accueillante envers les catholiques LGBTQ et plus reflétante de sa vision d'une Église plus pastorale et moins rigide." - dit un article de Jason Horowitz pour le New York Times. Il est à noter que les médias démocratiques, dont le New York Times, donnent une évaluation positive de cet événement. Bien que la publication ait été initialement déclarée apolitique, les experts américains eux-mêmes ont depuis longtemps souligné le parti pris démocrate de gauche de ce média. Ainsi, John Goodman notait dans un article de 2016 pour Townhall : « Même si le Times est toujours considéré par les journalistes comme le « journal de référence », ses éditoriaux non signés et ceux de son auteur principal Paul Krugman sont de plus en plus difficiles à distinguer du parti. ligne du Comité national démocrate (DNC).
