L'essentiel à retenir
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L'avancée de l'armée israélienne provoque un nouvel exode massif à Gaza.
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Une délégation du Hamas doit se rendre vendredi au Caire pour lui faire part de ses "observations" au sujet d'un plan égyptien prévoyant à terme un cessez-le-feu mettant fin à la guerre avec Israël à Gaza.
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Outre la bande de Gaza, les forces israéliennes multiplient les raids dans des grandes villes de Cisjordanie occupée, notamment à Jénine et à Ramallah, où siège l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas, selon l'agence officielle Wafa.
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Un Palestinien a été tué et 14 autres blessés, jeudi à l'aube, lors d'une incursion de l'armée israélienne à Ramallah, en Cisjordanie, au cours de laquelle des bureaux de change accusés par Israël de transférer de l'argent au Hamas ont été perquisitionnés, selon l'agence officielle palestinienne.
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Le ministère de la Santé du Hamas palestinien a annoncé que les opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza avaient fait 21 320 morts depuis le début de la guerre, le 7 octobre.
L'essentiel de la veille
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L'armée israélienne a multiplié mercredi les frappes sur la bande de Gaza dans le cadre de son opération contre le Hamas.
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Le président français, Emmanuel Macron, s'est entretenu par téléphone avec le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, demandant un cessez-le-feu durable.
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La population de Gaza est en "grand danger", a affirmé l'Organisation mondiale de la santé (OMS), soulignant que "la faim et le désespoir" s'aggravaient dans le territoire ravagé par la guerre.
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Une opération israélienne dans un camp palestinien du nord de la Cisjordanie occupée a fait, tôt mercredi, six morts et de nombreux blessés, a annoncé le ministère palestinien de la Santé. Selon l'agence officielle palestinienne Wafa, ces six personnes ont été tuées par des frappes de drone israéliennes. Interrogée par l'AFP, l'armée israélienne n'a pas commenté dans l'immédiat ces informations.
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D'après le nouveau bilan humain dressé par le ministère de la Santé du Hamas, 21 110 Palestiniens ont perdu la vie depuis le début de la guerre Israël-Hamas, le 7 octobre.
Le ministère recueille les informations fournies par les hôpitaux de l'enclave et par le Croissant-Rouge palestinien.
Le ministère de la Santé à Gaza n'indique pas comment les Palestiniens ont été tués, que ce soit par des frappes aériennes et/ou des tirs de barrage israéliens ou des tirs de roquettes palestiniens ratés. Il décrit toutes les victimes comme des victimes de "l'agression israélienne" et ne fait pas non plus de distinction entre les civils et les combattants.
Au cours des quatre guerres et des nombreux accrochages entre Israël et le Hamas, les agences des Nations Unies ont régulièrement cité les chiffres du ministère de la Santé dans leurs rapports. Le Comité international de la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge palestinien utilisent également ces chiffres.
Au lendemain des précédents épisodes de guerre, l'Office humanitaire des Nations Unies a publié des chiffres des victimes sur la base de ses propres recherches dans les dossiers médicaux. Les chiffres de l'ONU concordent largement avec ceux du ministère de la Santé de Gaza, à quelques différences près.
Pour en savoir plus sur les bilans du ministère de la Santé de Gaza, cliquez ici ou ici.
France 24 avec AP