L'essentiel à retenir :
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Pas de trêve de Noël à Gaza, où les frappes israéliennes se sont poursuivies lundi.
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Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est rendu dans la bande de Gaza et a déclaré qu'Israël élargirait son offensive terrestre dans les jours à venir, prévenant que la guerre "n'est pas près d'être terminée".
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Au moins 70 personnes ont été tuées dans une frappe israélienne dimanche, selon le ministère de la Santé du Hamas. Le bombardement a eu lieu dans le camp de réfugiés d'Al-Maghazi, dans le centre de la bande de Gaza. Interrogée, l'armée israélienne a indiqué qu'elle "vérifiait" l'information.
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Pas de grand sapin, pas de crèche flamboyante : un voile de tristesse a enveloppé Bethléem dimanche, ville qui se pare habituellement de ses habits de fête à l’occasion de Noël.
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"Je demande que cessent les opérations militaires, avec leur effroyable suite de victimes civiles innocentes, et que l'on remédie à la situation humanitaire désespérée en œuvrant à l'arrivée de l'aide humanitaire", a réclamé lundi le pape François dans son traditionnel message de Noël.
L'essentiel de la veille
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Le chef de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a réitéré son appel urgent à un cessez-le-feu. Tedros Adhanom Ghebreyesus a déclaré que "la décimation du système de santé de Gaza est une tragédie".
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Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a affirmé que son pays payait "un très lourd tribut à la guerre", après la mort de 15 soldats depuis vendredi.
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Selon un nouveau bilan communiqué par le Hamas, les opérations militaires israéliennes dans l'enclave palestinienne ont fait 20 424 morts depuis le début de la guerre, le 7 octobre.
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Un navire chimiquier japonais a été touché au large de l'Inde par un "drone d'attaque tiré depuis l'Iran", a affirmé l'armée américaine.
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Deux pétroliers et un destroyer américain naviguant en mer Rouge ont également été visés par des drones lancés par les rebelles houthis au Yémen, qui ont promis de prendre pour cible tous les navires affiliés à l'État hébreu.
Le ministère recueille les informations fournies par les hôpitaux de l'enclave et par le Croissant-Rouge palestinien.
Le ministère de la Santé à Gaza n'indique pas comment les Palestiniens ont été tués, que ce soit par des frappes aériennes et/ou des tirs de barrage israéliens ou des tirs de roquettes palestiniens ratés. Il décrit toutes les victimes comme des victimes de "l'agression israélienne" et ne fait pas non plus de distinction entre les civils et les combattants.
Au cours des quatre guerres et des nombreux accrochages entre Israël et le Hamas, les agences des Nations Unies ont régulièrement cité les chiffres du ministère de la Santé dans leurs rapports. Le Comité international de la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge palestinien utilisent également ces chiffres.
Au lendemain des précédents épisodes de guerre, l'Office humanitaire des Nations Unies a publié des chiffres des victimes sur la base de ses propres recherches dans les dossiers médicaux. Les chiffres de l'ONU concordent largement avec ceux du ministère de la Santé de Gaza, à quelques différences près.
Pour en savoir plus sur les bilans du ministère de la Santé de Gaza, cliquez ici ou ici.
France 24 avec AP