L'essentiel du 16 novembre
- La France a dénoncé la "politique de terreur" de colons israéliens en Cisjordanie.
- La branche armée du Hamas a revendiqué une attaque en Cisjordanie dans laquelle un soldat israélien a été tué.
- Les communications ont à nouveau été "totalement coupées" avec la bande de Gaza, faute de carburant.
- Notre envoyé spécial James André a pu se rendre à Gaza, embarqué avec l'armée israélienne :
- Le haut-commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, Volker Türk, a fait état d'"allégations extrêmement graves" de violations du droit international dans la guerre entre Israël et le Hamas et demandé une enquête internationale.
- L'armée israélienne a dit avoir pris le "contrôle opérationnel" du port de Gaza et poursuit son "opération ciblée" à l'hôpital Al-Chifa, dans lequel environ 2 300 personnes (patients, soignants, déplacés) se trouvent, selon l'ONU.
- Le chef de l'opposition israélienne Yaïr Lapid a appelé au départ du Premier ministre Benjamin Netanyahu sans attendre la fin de l'opération militaire contre le Hamas.
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Les États-Unis se sont déclarés "profondément préoccupés" par la frappe qui a touché l'hôpital militaire jordanien à Gaza et blessé sept personnes, se disant opposés à des frappes aériennes sur des hôpitaux.
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Notre reportage sur Bassam, un Franco-Palestinien rentré de l'enfer de Gaza :
- Le dernier bilan humain fait état de 11 500 Palestiniens – dont 4 710 enfants et 3 160 femmes – tués dans les bombardements israéliens sur la bande de Gaza depuis le 7 octobre, selon le ministère de la Santé dirigé par le Hamas.
- Environ 1 200 personnes – en grande majorité des civils – ont été massacrées dans l'attaque du Hamas du 7 octobre et 51 soldats ont été tués à Gaza depuis le début des opérations militaires au sol, selon les autorités israéliennes.
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Avec AFP, Reuters et AP