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Sandrine Rousseau : "Il n'y a plus d'impunité face aux violences sexuelles, il était temps"

Sandrine Rousseau est l'invitée de Roselyne Febvre et Valérie Gas dans "Mardi politique". Battue lors de la primaire des écologistes, elle préside désormais le conseil politique du candidat Yannick Jadot. Elle revient sur la proposition de primaire à gauche d'Anne Hidalgo, qui a été rejetée par la plupart de ses concurrents. Elle dénonce aussi le fait qu'Emmanuel Macron, pas encore candidat, fasse campagne avec les moyens de l'État, sans décompte de son temps de parole, alors que le président de la République doit s'exprimer mercredi.

Pour Sandrine Rousseau, l'urgence face au changement climatique peut créer une forme de repli et contribuer ainsi à la montée de l'extrême droite. L'ancienne élue régionale du Nord-Pas-de-Calais tente donc de rassurer les Français et les incite à changer la société dès maintenant, "en temps de paix".

Concernant les accusations d'agression sexuelle visant Nicolas Hulot, ancien ministre de la Transition écologique et solidaire, Sandrine Rousseau regrette que l'affaire, sortie dès 2018, n'ait pas eu de suites immédiates. La militante féministe se félicite qu'il n'y ait plus désormais d'impunité face aux violences sexuelles.