Au Cameroun anglophone, bien que les combats entre forces de sécurités et groupes armés sécessionnistes se poursuivent, certains ex-combattants séparatistes ont choisi de déposer les armes pour rejoindre un camp de Désarmement, de Démobilisation et de Réintégration (DDR). En échange de leur engagement à renouer avec une vie normale, le gouvernement a promis de leur accorder une amnistie totale, y compris pour des crimes de sang. Nos correspondants ont pu suivre le quotidien dans le camp de Bamenda, qui accueille 120 anciens miliciens et leurs familles sous haute surveillance.
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