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Espagne : "Nous ne sommes pas d'extrême droite, nous sommes des patriotes !"

À la une de la presse, vendredi matin : Emmanuel Macron qui dévoile enfin ses mesures après le grand débat, l’extrême droite qui fait campagne en Espagne et la Corée du Nord qui se rapproche de la Russie.

À la une de la presse française, vendredi matin, l'analyse des mesures annoncées par Emmanuel Macron en réponse au grand débat.

Aujourd'hui en France voit un président qui met le cap sur 2025. Au programme : une baisse des impôts pour les classes moyenne, une dose de proportionnelle et allongement de la durée de travail qui ne dit pas son nom.

Pour Libération, ces mesures n'ont rien d'un "grand tournant". Même si le quotidien note quelques avancées, notamment sur la désindexation des retraites ou les services publics.

The Korea Times, de son côté revient sur le sommet Kim-Poutine avec une préocupation majeure : la dénucléarisation de la péninsule coréenne. Pour le quotidien, le leader nord-coréen cherche un appui après l'échec du sommet de Hanoï avec Donald Trump.

The Washington Post évoque, lui, la demande suprenante de la Corée du Nord après la libération de l'étudiant Otto Warmbier : se faire payer une facture de 2 millions de dollars pour des soins médicaux. Condamné à 15 ans de travaux forcés en Corée du Nord pour avoir dérobé une affiche de propagande, le jeune homme est mort peu après son retour aux États-Unis.

Enfin, le Figaro a suivi la campagne du parti d'extrême droite espagnol Vox. Populiste et xénophobe, la formation ne fait que peu référence au franquisme. En revanche, elle salue souvent l'histoire de l'Espagne telle qu'on l'enseignait sous la dictature. Vox pourrait bien créer la surprise et terminer à la 3e place des élections législatives organisées dimanche.