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A la demande des autorités gabonaises, la Cour pénale internationale lance sa machine judiciaire. La procureure va procéder à examen préliminaire des violences survenues au lendemain du scrutin, une étape nécessaire avant une d’ouvrir une éventuelle enquête. Jean Ping le candidat malheureux à la présidentielle refuse quant à lui tout dialogue avec le pouvoir en place.