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En Côte d'Ivoire, les audiences publiques de la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) se terminent. Une fin prématurée et sans explication. A peine 80 victimes et bourreaux ont été entendus en vingt jours. Si les 80 témoignages incriminent les deux camps, la Commission rend son tablier sous le feu des critiques.

La Commission tentait d'adapter le concept de justice "transitionnelle" instauré dans l'Afrique du Sud post-apartheid.