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Au menu de cette chronique, un gros plan sur la réaction des médias après le début de la campagne officielle et donc de l'application des règles imposées par le CSA.

Des explications à foison sur les sites des journaux depuis le début de la campagne officielle. Exemple : le Parisien. "La campagne officielle c’est parti".

Des explications mais aussi beaucoup de critiques de la part des journalistes. Christophe Barbier de l'Express signe un édito vidéo acerbe. Il évoque ces clips que personne ne regarde vraiment et sur le temps de parole, il estime carrément qu’on porte atteinte au fonctionnement de la démocratie en France. D'autres journalistes se sont eux exprimés sur twitter.

Amaury Guibert,

Journaliste France 2 :

« Début de la campagne officielle, égalité stricte de traitement et de temps de parole entre candidats, degré zéro du journalisme politique. »

Ou Guy BirenBaum

Célèbre blogueur, qui officie maintenant sur une radio privée :

« Les quinze jours les plus chiants arrivent. Préparez-vous »

Des règles qui sont contraignantes. Tellement contraignantes qu’elles paralysent les partis. Notamment pour la fameux clips de campagne Exemple avec le huffington post, qui n’y va pas de main morte. Titre d’un article : « Clips de campagne: les candidats condamnés à être mauvais »

Une fois n'est pas coutume, la médiocrité générale de ces vidéos n'est pas à mettre sur le compte de l'amateurisme des équipes de campagne. Le coupable est tout désigné: il s'agit du Conseil supérieur de l'audiovisuel.