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Irak : jusqu'où la colère ?

C'était l'un des états arabes jusque-là épargnés par la contestation, et pour cause : l'Irak avait payé un lourd tribut à la guerre et au terrorisme. Mais l’exaspération des Irakiens face à la corruption et la mauvaise gouvernance a eu raison de ce calme apparent.Depuis un mois, les foyers de contestation se multiplient avec une exigence : le départ de la classe dirigeante.

Une émission préparée par Mélissa Kalaydjian, Hanane Saïdani et Flore Simon