L’Euro 2016 est une fête. Malgré tout, l’image des supporters a été salie par les hooligans russes à Marseille ou le comportement scandaleux de supporters anglais. Heureusement, loin de ces tristes évènements, d’autres amateurs du ballon rond prouvent que le bon esprit du football n’est pas mort.

Reprises de chanson, danses improbables et fraternisations entre adversaires. Florilèges d’actions de supporters aussi belles qu’une lucarne de Payet.

Le but le plus improbable de l'Euro

Vous pensiez qu'un centre de Rami était la chose la plus improbable que vous verriez à l'Euro ? Attendez de voir ce but marqué dans la fenêtre du deuxième étage d'un immeuble lillois par un supporter irlandais déguisé en cheval. Kamoulox ?

Faites des selfies, pas la guerre

Croatie-Turquie, Parc des Princes, 12 juin. Un match classé à risques par l’UEFA. Et pourtant ! Ça n’a pas empêché les supporters  des deux camps de prendre des selfies ou de chanter ensemble.

All you need is love

La capitale française reste avant tout la ville de l’amour. Ce jeune Gallois l’a bien compris et a demandé la main de sa fiancée en plein milieu de la fan-zone de la tour Eiffel. D’abord estomaquée, la jeune fille finit par répondre “oui” sous les hourras d'une foule légèrement éméchée. Romantique non ?

Vive la mariée

Décidément, les Gallois semblent être les plus sensibles à l’amour à la française. En marge du match opposant leur sélection nationale à la Slovaquie, certains avaient décidé de se balader dans le centre-ville de Bordeaux. Ils ont salué chaleureusement un couple de jeunes mariés qui passait par là.

Au bonheur des barmans

Les Anglais, c’est bien connu, ne sont pas là pour boire du jus de fruits. Les bars de Lille s’en souviennent : “En cinq heures, on a vendu l’équivalent de deux jours de Braderie soit 2 000 litres de bière. C’est assez impressionnant”, explique Eric Demonchaux, le directeur général des 3 Brasseurs, à 20 Minutes.

Une chanson douce que me chantaient les Irlandais

Bébé n'arrive pas à faire ses nuits ? Nous tenons peut-être la solution pour les papas et les mamans désespérés. Prenez un tramway plein d'Irlandais, ils s'occupent de tout : une petite berceuse, un service d'ordre pour le silence. Si avec ça, bébé n'arrive pas à dormir...

Une voiture à réparer ? Who you gonna call ?

Les Irlandais évidemment ! Ils ne sont jamais avares d'un coup de main. Ils se sont d'ailleurs empressés de changer la roue de ce couple de retraités qui a eu la malchance d'avoir une roue à plat boulevard de Clichy, à deux pas du Moulin-Rouge, à Paris.

Des réparations à payer ? Who you gonna call ?

Les Irlandais toujours ! En même temps, c'est eux qui ont défoncé le toit de cette pauvre voiture qui n'avait rien demandé à personne. Plutôt fair-play, les supporters Irlandais ont glissé des billets dans la voiture pour payer les réparations avant d'étaler de la bière sur le véhicule. Sans doute l'équivalent du baptême chez les "Boys in green".

À la queueleuleu

Même s'ils sont très forts (très très forts), les Irlandais n'ont pas le monopole du bon esprit. Sur cette vidéo, ce sont des supporters belges qui font vivre un moment inoubliable à une petite Irlandaise en fauteuil roulant en réalisant une chenille derrière elle.

Dur dur d'être un journaliste

Quand on réalise un duplex depuis les alentours d'un stade de foot, il faut s'attendre à tout et rester professionnel en toutes circonstances. Ce reporter hongrois peut en témoigner. Il va se souvenir longtemps des supporters irlandais (encore eux) et de la fête qu'ils lui ont réservé. À noter le petit caméo d'un Français dans la vidéo.

Will Grigg's on fire

Enfin, comment ne pas finir sur le tube de l'Euro 2016 ? Non, je ne parle de la chanson de David Guetta mais bien de la ritournelle que les Nord-Irlandais ont mis dans la tête de tous les fans de football depuis le début de la compétition. Cette improbable reprise de la chanson "Freed from desire" de Gala est un hymne à la gloire de Will Grigg, attaquant remplaçant de la sélection, mais coqueluche des supporters alors qu'il n'a toujours pas joué la moindre minute dans cet Euro.

Si Will Grigg entre en jeu lors du huitième de finale qui opposera sa sélection au Pays de Galles, ça promet une éruption au Parc des Princes à Paris.

Na, Na, Na, Na, Na, Na, Na, Na, Na, Na, Na, Na, Na, Na, Will Grigg's on fire !

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