En matière de transparence de la vie publique, la France était l'un des deux mauvais élèves de l'Europe avec la Slovénie. Une loi votée fin 2013 oblige maintenant les parlementaires français à rendre publics leurs revenus et leurs déclarations d'intérêt. Des données disponibles depuis cet été et consultables sur Internet par les citoyens. Mais ces déclarations ont été écrites à la main, ce qui les rend difficilement compréhensibles et exploitables.