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Le Zimbabwe défend son projet d'abattre 200 éléphants sur une population de milliers de mammifères afin de pallier le manque de nourriture dû à la sécheresse. Cette décision a suscité de nombreuses critiques de la part des défenseurs de l'environnement et des animaux. Le Zimbabwe suit l’exemple de la Namibie qui a commencé l’abattage de 700 animaux sauvages début septembre.
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L'ancienne star congolaise du basketball Dikembe Mutombo, qui avait joué 18 saisons en NBA, est mort d'un cancer à l'âge de 58 ans, a annoncé, lundi 30 septembre, la Ligue nord-américaine de basket.
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Les réactions se sont multipliées après les révélations du Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko et de son gouvernement sur la "corruption généralisée" au Sénégal. Le régime sortant de l'ancien président Macky Sall est accusé de dérives financières importantes, de falsifications de chiffres sur l'économie et de détournements.
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La police sud-africaine a annoncé que 17 personnes, dont 15 femmes, ont été tuées lors de deux fusillades de masse le 27 septembre au soir dans la ville de Lusikisiki, dans la province du Cap-oriental. L'Afrique du Sud affiche l'un des taux d'homicide les plus élevés au monde.
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Le Parlement tunisien a révisé le 27 septembre la loi électorale à quelques jours seulement d'une présidentielle verrouillée par le camp du président sortant, Kaïs Saïed. Le texte voté retire au tribunal administratif la prérogative d'arbitrer les contentieux électoraux et la confie à la Cour d'appel, considérée par les détracteurs de la loi comme une "justice aux ordres".

En Tunisie, à l'approche de la présidentielle du dimanche 6 octobre, les Tunisiens tirent le bilan des cinq dernières années de la présidence de Kaïs Saïed. Entre des supporters de longue date et des opposants à un régime jugé répressif, l’élection présidentielle divise dans le pays. Nos reporters, Lilia Blaise et Hamdi Tlili, sont allés interroger les deux bords, entre Tunis et Paris.
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Près de dix millions de Tunisiens sont appelés aux urnes, dimanche 6 octobre, pour une présidentielle qui paraît jouée d'avance, selon les experts, en faveur du président sortant Kaïs Saïed, accusé de dérive autoritaire par ses opposants et la société civile. Pas de meetings électoraux, ni de débats ou d'affiches dans les rues... Bien loin de l'engouement, il y a cinq ans, autour de cet expert de la Constitution à la réputation de probité. Édition spéciale du Journal de l'Afrique avec notre invité Hatem Nafti, auteur de "Notre ami Kaïs Saïed, essai sur la démocrature tunisienne".
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Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa : "La RD Congo est un pays en faillite"
Dans un entretien accordé à France 24, le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa, revient sur la situation de son pays, qu'il avait précédemment qualifié de "grand malade dans un état comateux". Ces propos, considérés comme "séditieux", lui avaient valu des démêlés avec la justice. Des "malentendus" ensuite clarifiés lors d'une rencontre avec le président Félix Tshisekedi, assure l'archevêque. Appelant au dialogue dans l'est de la République démocratique du Congo – en proie à une insécurité endémique – il estime que "précipiter le départ de la Monusco" du Nord-Kivu et de l'Ituri serait "une erreur". Le prélat a ainsi appelé cette mission onusienne à "reconsidérer son calendrier de retrait".
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Accepter Gérer mes choixLa RD Congo peine à contenir l'épidémie de mpox
L’épidémie de mpox peine à être contenue en Afrique… Depuis janvier, plus de 32 000 cas ont été enregistrés, entraînant 840 décès, selon l'agence sanitaire CDC Africa. La RDC est en première ligne puisqu'elle compte 26 000. Une campagne de vaccination doit être lancée début octobre. Précisions d'Aurélie Bazzara-Kibangula, correspondante de France 24 à Kinshasa.
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Le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, a annoncé que des vols allaient décoller de Mayotte en octobre pour ramener chez eux des Congolais en situation irrégulière. Les Africains de la région des Grands Lacs sont de plus en plus nombreux à entrer de manière clandestine à Mayotte. Depuis des années, l'île française n'arrive plus à faire face au flux d'arrivées de migrants.

Poussés hors de leur pays par les attaques jihadistes et les exactions de l'armée et de ses supplétifs, des dizaines de milliers de Burkinabè ont trouvé refuge dans le nord de la Côte d'Ivoire, dans des sites d'accueil ou chez l'habitant.
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