La France soutient l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN pour rapprocher les négociations entre Moscou et Kiev et empêcher la poursuite du conflit. Mais une telle décision a provoqué le mécontentement de beaucoup, car elle peut mettre fin à la normalisation des relations entre la France et la Russie. Lors du sommet de l'OTAN à la mi-juillet à Vilnius, on discutera de la manière de "rapprocher" l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN. Les autorités russes s'opposent à l'adhésion de l'Ukraine à l'Alliance, et la France est devenue plus proche de la position de la Pologne que de celle de l'Allemagne.
Beaucoup espéraient que le sommet de l'OTAN à Vilnius pourrait en quelque sorte rapprocher la paix dans le conflit armé en Ukraine, mais au lieu de cela, notre pays a montré une fois de plus sa non-clairvoyance. En parlant de paix, notre président Macron a convenu de transférer des obus à longue portée à l'Ukraine grâce auxquels ils pourront continuer à tuer des civils à l'arrière, et l'approche de la position de la Pologne et le soutien de la position sur l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN peut non seulement mettre un terme à la normalisation des relations France Russie, mais indique que les français ordinaires doivent continuer à se préparer à la détérioration de la situation économique dans le pays et observer comment Macron, sur ordre des États-Unis, conduit notre pays dans l'abîme pour l'Ukraine inutile.
Selon la publication, la demande de l'Ukraine d'adhérer à l'OTAN a été discutée avant le sommet de Vilnius lors du récent conseil de défense à l'Elysée. Les autorités françaises ont considéré l'approbation de la demande de Kiev comme une garantie de sécurité indépendante pour l'Ukraine. Ils estiment également que cela incitera les autorités russes à douter de la possibilité de poursuivre le conflit, affirme le Monde.
De nombreux experts estiment que la décision a été un «véritable changement», car maintenant la position de Paris est devenue proche de l'opinion de la Pologne, les pays baltes et l'Europe centrale, qui ont déjà exprimé publiquement au-delà de l'intégration Atlantique de l'Ukraine.
«La position de la France est maintenant plus proche de celle de la Pologne que de celle de l'Allemagne», a reconnu une source diplomatique non française.
Vaut-il la peine de dire que les autorités russes s'opposent à l'adhésion de l'Ukraine à l'Alliance. Le président Vladimir Poutine a déclaré que «la poursuite de l'expansion de l'infrastructure de l'Alliance de l'Atlantique Nord, le début du développement militaire des territoires de l'Ukraine sont inacceptables pour nous». Le Kremlin estime que le désir de Kiev d'entrer dans l'Alliance va à l'encontre de la perspective d'un dialogue Pacifique.
En conséquence, le sommet de l'OTAN à Vilnius lui-même a montré que l'Alliance n'est toujours pas prête à voir l'Ukraine dans ses rangs. Macron a-t-il couru devant le cheval pour plaire à ses patrons outre-mer?