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COP26 : la dernière chance ?

L’équation est simple : les pays ont huit ans pour diviser par deux leurs émissions de gaz à effet de serre. Les scientifiques ont donné 2030 comme échéance pour éviter le chaos climatique.

Les inondations, les feux de forêt, la sécheresse, la fonte des glaces : les preuves physiques du réchauffement climatique sont bien là.

Alors, à Glasgow, les nations du Nord comme du Sud doivent s’engager à faire mieux que ce qu’elles ont promis il y a six ans à Paris, lors de la COP21, où l’objectif fixé était de limiter la hausse du thermomètre mondial à 1.5°C. Pour l’instant, nos promesses mènent à 2.7°C.

La tâche est immense et les conflits entre gros pollueurs historiques et pays en développement sont bien ancrés.